Jennifer

Jennifer
Crédit photo : Sophie Clément

dimanche 30 juin 2013

L’Auberge du Pétillant : le restaurant-soleil de Louiseville



Comme le Roi-Soleil, il y a quatre siècles en France, le restaurant l’Auberge du Pétillant rayonnait de mille feux lors de l’ouverture officielle de sa nouvelle terrasse, jeudi dernier. Le resto super chaleureux avait revêtu ses plus beaux atours pour charmer ses convives, et tous les regards de la ville étaient tournés vers lui! Les invités ont été éblouis par l’éclat et la splendeur de la célébration organisée par la toute aussi rayonnante propriétaire, France Savoie. Pour l’occasion, je n’étais pas assise bien confortablement sur mon siège parmi les spectateurs, comme à l’habitude, je faisais plutôt partie de la joyeuse troupe qui veillait à rendre la soirée des plus inoubliables : une belle équipe de serveuses et de cuisiniers enthousiastes à l’idée de l’été – ensoleillé, je l’espère – qui s’en vient! J’ai donc vu circuler sur la terrasse pas moins d’une vingtaine de bouchées plus osées les unes que les autres : nachos; roulés de concombre et fromage; minis-burgers; minis-brochettes; bouchées de filet mignon; moules; bruschettas, etc. Un mousseux aux fraises était également offert et un groupe de blues de la région (Jimmy and the Cadillacs) jouant au grand air a vraiment été la cerise sur le sundae de cette ouverture remarquable. La grande classe! À l’intérieur de l’établissement, la fête s’est poursuivie jusque dans la nuit, puisque j’ai servi des repas à des gens heureux et souriants, contents pour la propriétaire du restaurant aimée de tous et fiers qu’une entreprise de leur ville ait de plus en plus sa place au soleil! Tous ont dit qu’ils seraient au rendez-vous cet été. Bravo France!

mardi 25 juin 2013

Agrotourisme et feux d'artifice pour la St-Jean-Baptiste


Ce dimanche 23 juin, tous les Québécois étaient invités à célébrer leur fierté d’habiter dans notre belle province. Plusieurs activités étaient organisées par les municipalités, même si la fête nationale a selon moi plus de prestance et de réputation dans la vieille capitale. D’ailleurs, je ne sais pas si vous aviez remarqué le logo cette année, mais il était particulièrement génial : un fleurdelisé stylisé représentant des feuilles en pleine croissance et bien enracinées. Le slogan était super également : « Le Québec en nous : d’hier à demain ». Une formulation remplie d’espoir et d’amour de l’histoire. Je ne déteste pas ça! Pour mes amies et moi, la St-Jean s’est déroulée en compagnie d’un des plus jolis garçons blonds que je connaisse : Manu, 3 ans. Il ne fallait donc pas oublier notre jeune cavalier dans le choix des endroits que nous voulions visiter : ferme Nouvelle-France à Sainte-Angèle-de-Prémont et ferme Régis à Notre-Dame-des-Prairies. Je vous reparlerai de la ferme Nouvelle-France un peu plus tard, car elle n’est pas complètement ouverte. Métiers d’art, produits maraîchers, fermette, terrasse, salle de réception magnifique, musée et sentiers au cœur des cultures seront  à découvrir bientôt (dans deux semaines environ). La ferme Régis fait le plaisir des petits en raison de la présence de plusieurs animaux de la ferme, mais aussi, d’un grand silo vide dans lequel les enfants peuvent s’époumoner et observer l’écho de leurs petites voix et la grandeur de cette structure commune dans nos paysages campagnards. Nous avons pu acheter, dans ce grand marché, de la bière de la microbrasserie l'Alchimiste de Joliette. La St-Jean n'est brassée que pour la fête des Québécois, vendue en caisse de 24 bouteilles à 24,99 $. En plus, c'est une excellente bière légère qui se boit facilement. En revenant vers la Mauricie, nous avons fait une pause pour visiter le vignoble St-Gabriel, son musée du tracteur et sa très belle cave à vin. Pendant que Manu piquait un petit roupillon, nous avons dégusté cinq vins biologiques et une sangria, tout en jetant un œil sur notre Petit Prince. La sangria, le Régal d’automne (vin blanc) et le Coteau St-Gabriel – réserve (vin rouge) ont été les favoris. Après un bon repas débordant de fruits et légumes frais, de fromages et de cochonnailles achetés à la ferme Régis ainsi que de vins lanaudois, nous avons assisté au spectacle gratuit organisé par la Ville de Louiseville : Jeff Patry, David Jalbert et feux d’artifice. Belle fin de soirée explosive!

dimanche 23 juin 2013

Sourires au Grand Rire de Québec

Désormais, il ne faudra plus dire « quand le chat n'est pas là, les souris dansent », mais bien « quand les hommes sont à la pêche, les femmes trottent »! Vendredi soir, j’ai été invitée par une amie à profiter de la partie de pêche masculine de mon mari – sept gars dans un schack dans le fond du bois pendant quatre jours, ça doit sentir la testostérone là-dedans – pour aller assister à Carte blanche à Peter Macleod au Grand Rire de Québec, pour souper tranquillement sur une terrasse en bavardant des heures et pour danser jusqu'à la fermeture des bars. Si vous faites comme nous et allez à Québec, arrêtez au restaurant Le Hobbit sur la rue St-Jean. Des entrées sublimes y sont servies : pétoncles poêlés, velouté de pois verts et poudre de proscuitto; tartare de bœuf balsamique et croûtons; crabe cake et émulsion d'avocat; salade tiède au canard confit. Accompagnées d'un excellent vin espagnol, ces bouchées plairont à coup sûr aux plus gourmets/gourmands d'entre vous. Faites ensuite trois pas vers le Capitole pour manger un gelato chez Tutto Gelato, car la saveur Tiramisu est à se rouler par terre de bonheur. Mais soyez avertis que toute cette bonne bouffe provoquera assurément chez plusieurs personnes une série d’onomatopées extasiées appartenant à la famille des « hummmmmm! ». Pour nous, le périple s'est poursuivi à la Place d'Youville pour le spectacle animé par Peter Macleod. J’ai bien apprécié les numéros humoristiques de Guy Nantel et de Peter, l’énergie de rockeuse d’une fille de la relève en humour, Mariana Mazza Cherie, ainsi que les intermèdes musicaux signés Steve Veilleux. Mais j’avoue que, selon moi, le clou de la soirée a été P.A. Méthot. J’ai ri aux larmes lorsque le Gaspésien est venu nous pousser un punch, puis un autre et encore un autre! Je vous épargne les détails – en fait, je vous les cache – plutôt amusants de la fin de soirée, mais il faut savoir que pour les célibataires parmi vous (je m’exclue dans ce vous, évidemment),  il y a du beau monde de Québec et d’ailleurs dans les bars de la Basse-Ville. Bonne St-Jean, et j’ai une petite pensée pour ceux qui célèbreront la fête nationale sur les Plaines ce soir : profitez bien de votre journée dans la vieille capitale! Et chantons tous en chœur : « Gens du pays, c’est votre tour… ».


dimanche 16 juin 2013

Le marché public Yamachiche

Les marchands organisent la présentation de leurs produits sur des tables abritées sous des tentes blanches, les enfants crient et courent partout autour d'un petit poney occupé à tourner en rond dans son enclos, un petit veau l'air surpris regarde les passants en ruminant un peu d'herbe fraîche. Et partout, des commerçants et des clients s'animent, discutent, éclatent de rire, se serrent la main et font connaissance. C'est comme si l'on avait traversé les époques et remonté le temps afin d'aboutir à un endroit où chacun s'arrête un instant pour croquer dans une fraise fraîche en essuyant le jus fruité dégoulinant sur son menton, pour sourire à celui qui a cultivé des légumes en travaillant à la sueur de son front, pour féliciter Madame la boulangère qui fait du pain si moelleux, pour demander à ce chocolatier d'où provient cet accent particulier. Bien sûr, la Belgique! Évidemment! C'est ainsi que se déroulent les journées au petit marché public Yamachiche, placé tout près de l'église, relique d'une époque presque révolue où l'on se rassemblait sur le parvis, le dimanche, pour bavarder. Enfin, les marchés mettant en vedette les produits locaux sont de plus en plus nombreux, et c'est tant mieux. Prenons le temps de ralentir, de choisir des aliments frais, de goûters des saveurs nouvelles et d'encourager ceux qui travaillent dur pour notre plus grand plaisir gourmand! Passez un été... exquis!

Page Facebook du marché : https://www.facebook.com/MarcheYamachichehttps://www.facebook.com/MarcheYamachiche.


vendredi 14 juin 2013

Dieu Merci! Le spectacle 2 : la première

Hier soir, après avoir navigué sur le fleuve St-Laurent à bord du traversier qui mène sur la rive Sud, j'ai eu la chance d'être parmi les premiers à voir le spectacle Dieu merci! 2 au Théâtre du Chenal-du-Moine (http://www.icicestdrole.com/). Une première, évidemment, c'est toujours excitant, d'autant plus que le célèbre coproducteur Éric Salvail était présent dans la salle accompagné de sa mère. Lorsqu'il a pris le micro, j'ai encore ri trop fort à l'entendre nous raconter que sa maman dort sur un oreiller de soie pour ne pas gâcher sa belle mise en plis, gracieuseté de Sorel Coiffure. Je ne sais pas si Éric sait qu'il existe une version beaucoup plus cheap de l'oreiller de soie, et que certaines coiffeuses suggèrent à leurs clientes de se coucher sur un oreiller enveloppé d'un sac à poubelle! Croyez-moi, je l'ai déjà testé. Après deux minutes couchée sur du plastique à vidanges à respirer une odeur particulière, je vous jure qu'on se fout pas mal de scrapper notre coiffure et qu'on se dit que la fille du salon à des idées pas mal bizarres... Lâchons les bigoudis et revenons à Dieu merci! Philippe Laprise est le nouvel animateur cet été, et il fait vraiment un excellent travail. La nervosité au début de la soirée lui a fait faire quelques blagues tombées à plat, mais il a su jouer avec pour nous faire rire de toute manière. Les artistes invités ont beaucoup plu à l'assistance. Diane Lavallée, Pierre-François Legendre et Gildor Roy avaient le sens du punch bien aiguisé hier soir! Je me souviens de Pierre-François déguisé en espèce de super-héros à la perruque jaune, aux antennes d'insecte et à la queue diabolique qui avait un W cousu sur son costume. Lorsque le comédien maison lui a demandé son nom de super-héros, Pierre-François a eu la présence d'esprit de lui répondre : "mon nom est Mario! Eh oui, je l'ai cousu à l'envers!" La salle a éclaté de rire et d'applaudissements. D'autres très bons coups sont sortis des bouches de Diane et de Gildor, mais les spectateurs ont choisi Pierre-François comme champion de la première de Dieu merci! Les comédiens maisons sont souvent oubliés, car ils sont là pour faire valoir les invités. Sauf qu'ils sont super impressionnants. Sophie Caron, Simon Boudreault et Simon Rousseau sont des noms que nous reverrons dans le monde culturel au Québec. Prêts à tout, ils sont là pour ramener l'artiste vers une bonne piste, pour combler les trous causés par une petite hésitation ou pour sortir la ligne qui aidera l'invité à provoquer le fou rire général, contrôlé sur la scène, mais délirant dans la salle! Alors, oui, je conseille à tous de prendre le traversier qui vous mènera à une soirée très agréable. Attention, un rictus prononcé provoqué par des punchs bien placés peut causer un mal de joue intense! Vous aurez été avertis!

jeudi 13 juin 2013

Ma voisine dérange (Michèle Gélinas, 2012)

Dans le cadre de mon travail à la Société d'histoire et de généalogie de Louiseville, j'ai l'occasion de faire des chroniques historiques à la radio, tous les mercredis vers 15h15. Pour m'entendre, syntonisez le  103,1 FM à l'heure du Retour de Maski avec Alex Trudel (http://www.ch2ofm.com/). Hier, j'ai parlé d'un livre que j'aimerais vous faire découvrir : Ma voisine dérange de Michèle Gélinas. Publié en 2012 aux Éditions GID, il s'agit d'un recueil de portraits de femmes d’un autre siècle qui rassemble les histoires de vingt-et-une dames de la région du Nord du lac St-Pierre qui ont vécu entre la Conquête (1763) et la Confédération (1867). Ce ne sont pas des vies paisibles et conventionnelles qui sont racontées dans l’ouvrage de Michèle Gélinas. Au contraire, comme son titre l’indique, le livre porte sur des femmes qui ont dérangé dans la société de l’époque dans laquelle elles ont vécu. L’ouvrage historique très bien documenté peut vraiment être abordé comme un roman, car les historiettes sont dignes des fictions les mieux ficelées : plus croustillantes les unes que les autres. Par exemple, la vie de Thérèse de Cabanac, femme du18e siècle, n’est pas de tout repos. Thérèse est née en 1743 à Montréal et son père, a été nommé commandant du fort Frontenac en 1746 (aujourd’hui Kingston en Ontario). Il faut savoir que Mlle de Cabanac ne se mariera jamais et que sa famille s’éteint doucement au fil des ans. Elle se retrouve donc rapidement sans beaucoup de ressources, et son chemin va croiser celui d’un homme très influant dans le clergé de Trois-Rivières. Il s’agit du grand vicaire St-Onge. Propriétaire de la belle maison que l’on trouve encore aujourd’hui à l’angle des rues Notre-Dame et Saint-François-Xavier en face de l’Église Saint-James à Trois-Rivières, il va héberger sa supposée cousine, c’est-à-dire Thérèse de Cabanac, pendant une longue période de sa vie. Pourtant, les liens qui unissent nos deux protagonistes n’ont rien de familiaux. En réalité, la relation de Thérèse et du grand vicaire est très suspecte pour les gens de l’époque et a fait couler beaucoup d’encre. Monseigneur Briand, à Québec, écrit au fameux grand vicaire St-Onge en 1777 : « Si vous aviez une mère ou une sœur chez vous, on pourrait dire que Mlle de Cabanac viendrait leur tenir compagnie, mais elle ne peut venir que pour vous et certes, cela n’est pas édifiant, et surtout dans la place que vous tenez » (cité dans Gélinas, 2012). Voilà donc ce que l’on peut apprendre dans Ma voisine dérange de Michèle Gélinas. On voit un peu ce qu’étaient les coulisses de l’histoire avec un grand H, ce qui n’est pas nécessairement raconté dans les manuels scolaires et, selon moi, c’est ce qui est le plus amusant. D’ailleurs, un autre portrait de femme a attiré mon attention. Louise Vanasse, qui a vécu au 19e siècle, a eu une vie extraordinaire. Elle a quitté la région de Maskinongé après un mariage raté et le décès prématuré de ses deux seuls enfants. Comme elle part à l’aventure seule, elle décide de s’habiller en homme pour sa sécurité et pour trouver du travail. Dans sa vie, elle a été bûcheron, elle a travaillé sur des bateaux de pêche, puis elle est revenue à Rivière-du-Loup (aujourd’hui Louiseville) à la fin de ses jours. Elle a toujours porté des cheveux courts ainsi que des vêtements d’homme et on disait également qu’elle osait même jurer, chiquer, cracher et que les enfants la craignaient énormément. Michèle Gélinas conclut que Louise, surnommée la Grand Menaille, a adopté toutes les caractéristiques qui ont fait d'elle un homme. Évidemment qu’au 19e siècle, cette attitude si peu commune aux femmes a choqué. J’avoue que, même aujourd’hui, son histoire nous surprend encore énormément! Pour d'autres histoires rocambolesques, lisez le livre de Michèle Gélinas!

mercredi 12 juin 2013

Lancement de la programmation du Magasin Général Le Brun

J'ai assisté, hier après-midi, au lancement de la programmation 2013-2014 du Magasin général Le Brun à Maskinongé. L'excitation se faisait sentir dans la petite salle de spectacles du côté des médias et des gens du public présents en bon nombre ainsi que du côté des deux animateurs. Isabelle et Richard, le couple propriétaire de l'endroit, ont travaillé fort pour offrir aux gens du coin des artistes vraiment intéressants, et j'ai même entendu Isabelle dire qu'elle se sentait plus nerveuse que lors des lancements des années antérieures. Pourtant, nous avons été très bien accueillis : bières et rillettes étaient à notre disposition en abondance! Les deux propriétaires ont fait le bilan de 2012-2013 en nous disant que 18 spectacles sur 38 ont affiché complet, que 3200 personnes sont venues assister aux spectacles et que Michel Rivard avait choisi leur salle parmi plusieurs autres au Québec pour sa mini-tournée de cinq show intimes. Tout un honneur pour Maski! Pour en revenir à la programmation de cette année, je sais que le couple est fier lorsque des musiciens de la région foulent les planches de la salle de spectacles L'Grenier. Ce sera le cas de Steve Hill, de Galant tu perds ton temps, des Cousins Branchaud, de De temps Antan et de Qw4rtz, entre autres.  Isabelle nous a confié que le couple s'était efforcé de conserver la même qualité artistique que l'an dernier. D'ailleurs, certains artistes qui figuraient à la programmation 2012-2013 reviennent cette année, probablement charmés par le site historique. Parmi eux se trouvent Bernard Adamus, Bears of Legend, Angel Forrest, Les Tireux d'Roches, Bob Walsh et Ingrid St-Pierre. Les noms qui ont retenu mon attention sont les suivants : Marie-Pierre Arthur, Pascale Picard, Martin Deschamps, Dumas, Andréanne A. Malette, Elisapie Isaac, Jael Bird Joseph et Louis-Jean Cormier. Le choix ne manquera pas non plus pour les amateurs de découvertes, car Isabelle et Richard aiment faire connaître de nouvelles têtes. Tant mieux! Pour ma part, j'ai pris des billets pour Pascale Picard (les numéros 001 et 002), et je me promets d'aller voir la pièce de théâtre d'été 3 requins dans l'eau chaude. Tous les détails se trouvent sur le site du Magasin : http://www.magasingenerallebrun.com/Accueil.php.On se verra peut-être cette année dans L'Grenier, encore une fois!!

mardi 11 juin 2013

Musée Grévin de Montréal

Samedi dernier, j'ai embarqué dans la voiture de mon amie, et nous nous sommes rendues dans la Grande Ville : Montréal. Notre principale destination était le musée Grévin de Montréal, situé au Centre Eaton sur la rue Ste-Catherine. Drôle d'emplacement pour un musée, car nous devions prendre l’ascenseur transparent pour atteindre le cinquième étage de l'immeuble. Rendues là, nous étions attendues par un gentleman en costume, tout sourire. J'ai adoré le spectacle immersif qui dure deux ou trois minutes avant que l'on entre dans le musée comme tel. On se croyait dans la Galerie des glaces du fameux Versailles. Le jeu de miroir, l'effet d'image dans l'image (espèce de mise en abyme) et les lustres fastueux n'y étaient vraisemblablement pas pour rien. Après cette projection un peu féérique, on entre en passant des portes, toujours en miroir. Puis, la réalité et la fiction s'entremêlent lorsqu'on se ballade en groupe composé de vraies personnes parmi ces personnages de cire parfois plus vrais que nature. Certains sont peu ressemblants, et les critiques de la statut de Marie-Mai avaient malheureusement raison! Aucun lien, mis à part la robe et les tatouages. Bon, tant pis pour celle-là! D'autres sont superbes et valent le détour : Denise Bombardier et Rock Voisine semblent vraiment assis près de nous; le mythique bed-in de John et Yoko est fort bien illustré; Brad et Leonardo sont aussi beaux que dans nos rêves. Mais il faut le voir pour le croire!